• « C’est une triste chose de songer que la nature parle
    et que le genre humain n’écoute pas.
     » 
    – Victor  Hugo

    Après avoir résonné tout l’été 2022 sous les voûtes de la Collégiale Saint-Pierre-le-Puellier dans le cadre du partenariat entre la Métropole d’Orléans et la galerie Danysz, l’exposition collective « Tumultes » est présentée du 28 janvier au 25 février 2023 chez Danysz Paris – Marais.

    Icy and Sot, Liu Bolin, Robert Montgomery, Charles Pétillon, Rero et Saype, nous invitent au cœur d’une réflexion profonde sur la place de l'Homme dans le monde que nous habitons.

  • Interrogeant à travers des techniques très différentes la question du rapport de l’Homme à la Nature et au Vivant, ainsi que la défense de l’Environnement – enjeu majeur de notre époque contemporaine – ces artistes témoignent de parcours et pratiques riches et divers néanmoins s’inscrivant tous dans l’exploration et l’incarnation de ces thématiques. En effet, ces citoyens du monde éclairent chacun à leur manière l’enjeu écologique avec leur outil de prédilection : l’art sous forme de vidéo, photo, performance ou installation. Différents médiums empreints de leur sensibilité au monde qui nous entoure, avec cette idée chevillée au corps et au cœur d’un art contemporain qui interroge et véhicule des émotions et messages poignants.

    • Liu Bolin Sunflower No1 (large), 2012 Photography 135 x 180 cm Edition of 8 plus 2 AP
      Liu Bolin
      Sunflower No1 (large), 2012
      Photography
      135 x 180 cm
      Edition of 8 plus 2 AP
    • Icy And Sot Human Reflection on Ocean, 2017 Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm 76 x 114 cm 29 7/8 x 44 7/8 in Edition of 3
      Icy And Sot
      Human Reflection on Ocean, 2017
      Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm
      76 x 114 cm
      29 7/8 x 44 7/8 in
      Edition of 3
    • Icy And Sot Tenacity of Hope, collaboration with Spenser Little, 2019 Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm 76 x 114 cm 29 7/8 x 44 7/8 in Edition of 3
      Icy And Sot
      Tenacity of Hope, collaboration with Spenser Little, 2019
      Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm
      76 x 114 cm
      29 7/8 x 44 7/8 in
      Edition of 3
    • Liu Bolin Cancer Village (large), 2013 Photograph 100 x 300 cm Edition of 6 plus 2 AP
      Liu Bolin
      Cancer Village (large), 2013
      Photograph
      100 x 300 cm
      Edition of 6 plus 2 AP
    • Liu Bolin Screens in Rest (medium), 2017 Photography 112 x 150 cm 44 1/8 x 59 in Edition of 8 plus 2 AP
      Liu Bolin
      Screens in Rest (medium), 2017
      Photography
      112 x 150 cm
      44 1/8 x 59 in
      Edition of 8 plus 2 AP
    • Saype, World in Progress II, 2021
      Saype, World in Progress II, 2021
    • Liu Bolin Sea shepherd (AUSTRALIA), 2015 photograph 100 x 150 cm Edition of 8 plus 2 AP
      Liu Bolin
      Sea shepherd (AUSTRALIA), 2015
      photograph
      100 x 150 cm
      Edition of 8 plus 2 AP
    • Icy And Sot Human Reflection on Nature, 2017 Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm 76 x 114 cm 29 7/8 x 44 7/8 in Edition of 3
      Icy And Sot
      Human Reflection on Nature, 2017
      Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm
      76 x 114 cm
      29 7/8 x 44 7/8 in
      Edition of 3
    • Icy And Sot Nature's Reflection, 2017 Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm 76 x 51 cm 29 7/8 x 20 1/8 in Edition of 3
      Icy And Sot
      Nature's Reflection, 2017
      Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm
      76 x 51 cm
      29 7/8 x 20 1/8 in
      Edition of 3
    • Charles Petillon Igloo 1 (small), 2011 Pigment print 60 x 78 cm 23 5/8 x 30 3/4 in Edition of 5 plus 2 AP
      Charles Petillon
      Igloo 1 (small), 2011
      Pigment print
      60 x 78 cm
      23 5/8 x 30 3/4 in
      Edition of 5 plus 2 AP
    • Robert Montgomery Salvage Paradise, 2021 Recycled PVC, wood, copper and 12v LED 300 x 480 cm 118 1/8 x 189 in Edition of 5
      Robert Montgomery
      Salvage Paradise, 2021
      Recycled PVC, wood, copper and 12v LED
      300 x 480 cm
      118 1/8 x 189 in
      Edition of 5
    • Liu Bolin Forest (large), 2013 Photograph 100 x 300 cm Edition of 6 plus 2 AP
      Liu Bolin
      Forest (large), 2013
      Photograph
      100 x 300 cm
      Edition of 6 plus 2 AP
    • Icy And Sot Remains I, 2021 Alloy Steel Round Bar 53 x 50 x 38 cm 21 x 19 1/2 x 15 in
      Icy And Sot
      Remains I, 2021
      Alloy Steel Round Bar
      53 x 50 x 38 cm
      21 x 19 1/2 x 15 in
    • Robert Montgomery Woodcut Panel (One Day), 2019 Pure gold leaf, tarnished gold and gold paint on carved wood 100 x 100 cm 39 3/8 x 39 3/8 in Edition of 5
      Robert Montgomery
      Woodcut Panel (One Day), 2019
      Pure gold leaf, tarnished gold and gold paint on carved wood
      100 x 100 cm
      39 3/8 x 39 3/8 in
      Edition of 5
    • Icy And Sot Remains II, 2021 Alloy Steel Round Bar 44.5 x 38 x 30.5 cm 17 1/2 x 15 x 12 1/4 in
      Icy And Sot
      Remains II, 2021
      Alloy Steel Round Bar
      44.5 x 38 x 30.5 cm
      17 1/2 x 15 x 12 1/4 in
    • Charles Petillon Anarchitecture (Large), 2014 Pigment print 111 x 146 cm 43 3/4 x 57 1/2 in Edition of 5 plus 2 AP
      Charles Petillon
      Anarchitecture (Large), 2014
      Pigment print
      111 x 146 cm
      43 3/4 x 57 1/2 in
      Edition of 5 plus 2 AP
  • Icy And Sot, Tenacity of Hope, collaboration with Spenser Little, 2019
  • « L’art a sans aucun doute le pouvoir d’apporter des changements dans notre société.
    Nous pensons que l’art est en lui-même un acte politique. Nous essayons de donner au public la possibilité d’imaginer un monde meilleur. L’impact qu’une pièce peut avoir sur la journée de quelqu’un peut être minime, mais c’est tout de même un impact. Selon nous, le rôle de l’artiste est de donner de l’espoir, de plaider pour la liberté et de sensibiliser le monde aux problèmes actuels qui se posent. »
    - Icy and Sot

  • icy and sot

    Icy And Sot, Plastic Ban, 2018

    icy and sot

    Les frères iraniens Icy and Sot mêlent dans leurs travaux le témoignage de leur propre migration et exil aux Etats-Unis aux questions contemporaines portant sur le climat et la nature. Pour « Tumultes », le duo d’artistes engagés présente des vidéos, des photographie ainsi qu’une installation soulignant l’urgence climatique et mettant en exergue les multiples empreintes laissées par l’homme sur la nature.

     

    C’est donc notre époque contemporaine que donne à voir leur travail, avec tous ses travers, ses dysfonctionnements et ses tragédies. Il n’y a jamais cependant la tentation du fatalisme chez le duo iranien. Bien au contraire, c’est toujours l’espoir et la résilience qui se font jour et qui prédominent dans leurs œuvres. Le destin des deux artistes est déjà en lui-même une raison de ne pas désespérer du monde, car Icy and Sot démontrent que le talent et la persévérance ont quelquefois le pouvoir de triompher des épreuves.

     

    Icy (né en 1985) et Sot (né en 1991) ont grandi en Iran et résident aujourd’hui à New-York. Artistes de renommée internationale, ils ont exposé leur travail notamment au Musée de l’Art Urbain et Contemporain de Munich, à la galerie Saatchi de Londres, ou encore au Musée des Beaux-Arts de Calais.

     

  •  
    Liu Bolin, Screens in Rest (medium), 2017 Photography
  • « Certains diraient que je disparais dans le paysage.

    Personnellement, je dirais que c'est l'environnement qui m'avale. »
    - Liu Bolin

  • Liu Bolin
    Liu Bolin, Forest (large), 2013 - Photography

    Liu Bolin

    Liu Bolin, artiste reconnu pour son utilisation du camouflage pour se fondre dans le paysage (à moins que ce ne soit le paysage qui l’absorbe), nous invite à découvrir les photographies de sa célèbre série « Invisible Man ». Une façon de faire corps littéralement avec la nature et de sonner le glas d’une vision binaire de l’homme séparé de son environnement.

     

    « Je me sers de la technique du sniper », déclarait Liu Bolin lors d'un TED talk, en 2013, à propos de sa célèbre série Invisible Man, ces photo-performances où l'artiste chinois utilise le camouflage pour se fondre dans le paysage. Artiste caméléon, Liu Bolin prend prétexte de sa propre dissimulation pour créer une tension dans l’image, tension qui appelle un commentaire, une réaction chez le regardeur.

     

    Parallèlement à son travail photographique, Liu Bolin continue de mener de front un travail de sculpture — médium avec lequel il a commencé — et réalise des figures humaines faites de composants électroniques, cartes mère, câbles USB. Ces travaux complètent, et en un sens éclairent, la série Invisible Man. Ils participent de la même vision d’une humanité en péril, et nous invitent à nous demander si notre espèce ne serait pas tout près de se dissoudre dans les structures technologiques, économiques et politiques de notre époque contemporaine.

     

    Liu Bolin est né en 1973 dans la province de Shandong, à l’est de la Chine. Il est diplômé d’un Bachelor of Fine Arts de l’Université des Beaux-Arts de Shandong, et d’un Master of Fine Arts de l'Académie Centrale des Beaux-Arts de Chine. Ses travaux sont régulièrement exposés en galerie et dans des musées à travers le monde. Il vit et travaille à Pékin.

    • Liu Bolin Les Demoiselles d'Avignon (large), 2017 Photography 120 x 120 cm 47 1/4 x 47 1/4 in Edition of 4 plus 2 AP
      Liu Bolin
      Les Demoiselles d'Avignon (large), 2017
      Photography
      120 x 120 cm
      47 1/4 x 47 1/4 in
      Edition of 4 plus 2 AP
    • Liu Bolin No. 2 Mexico Magazine (small), 2015 Photography 90 x 120 cm 35 3/8 x 47 1/4 in Edition of 6 plus 2 AP
      Liu Bolin
      No. 2 Mexico Magazine (small), 2015
      Photography
      90 x 120 cm
      35 3/8 x 47 1/4 in
      Edition of 6 plus 2 AP
    • Liu Bolin Dance, 2017 Epson Glossy Photo Paper 100 x 150 cm 39 1/2 x 59 in
      Liu Bolin
      Dance, 2017
      Epson Glossy Photo Paper
      100 x 150 cm
      39 1/2 x 59 in
    • Icy And Sot Plastic Ban, 2018 Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm 76 x 114 cm 29 7/8 x 44 7/8 in Edition of 3
      Icy And Sot
      Plastic Ban, 2018
      Giclée print on Mosab Lasal photo Matte 230 gsm
      76 x 114 cm
      29 7/8 x 44 7/8 in
      Edition of 3
    • copyright Elodie Ponsaud
      Robert Montgomery
      Future is a Risk, 2021
      Oak, polymer and 12volt LED lights
      55 x 878 cm
      21 5/8 x 345 5/8 in
    • Robert Montgomery All Palaces are Temporary Palaces Photography 61 x 88 cm 24 1/8 x 34 5/8 in
      Robert Montgomery
      All Palaces are Temporary Palaces
      Photography
      61 x 88 cm
      24 1/8 x 34 5/8 in
    • Icy And Sot Our House Is On Fire, 2020 Giclee Print on innova Smooth Cotton Fine Art Paper 89 x 102 cm 35 1/8 x 40 1/8 in Edition of 3
      Icy And Sot
      Our House Is On Fire, 2020
      Giclee Print on innova Smooth Cotton Fine Art Paper
      89 x 102 cm
      35 1/8 x 40 1/8 in
      Edition of 3
    • Robert Montgomery You Are an Agent of Free Sunlight, 2021 Digital Animation NFT 3'33"
      Robert Montgomery
      You Are an Agent of Free Sunlight, 2021
      Digital Animation NFT
      3'33"
  • Robert Montgomery, The Sea Has No Name For America, 2018 - Fire poem performance Bombay Beach BIennale, California
  • « Je pense que la mélancolie est vraiment intéressante, parce que c'est créer de la beauté à partir de la tristesse...
    Ce n'est que lorsque nous commençons à détruire la planète que nous réalisons que nous vivions au paradis.»

    - Robert Montgomery

  • Robert Montgomery

    Robert Montgomery, All Palaces are Temporary Palaces, 2011

    Robert Montgomery

    L’artiste britannique Robert Montgomery s’intéresse à « la manière dont on ressent de l’intérieur le fait de vivre dans une phase avancée du capitalisme. » Souvent poétiques, ses travaux se présentent  dans un large éventail de médiums : affiches, néons LED, structures en bois auxquelles il met le feu dans le cadre de performances. Dans son atelier, il se tourne vers la peinture, l’aquarelle ou encore la gravure sur bois. Teintés de mélancolie, ses mots sont parfois habités par le pressentiment d’un naufrage existentiel. Parfois aussi pleins d’espoir. L’écologie, la guerre, l’apathie, l’aliénation sont parmi ses thèmes récurrents, avec cette idée sous-jacente que « l’art peut être transformateur ». L’invité d’honneur à la COP26, nous invite à préserver la Terre et à retrouver le lien qui nous unit au monde.

     

    Robert Montgomery est né à Chapelhall en Ecosse, en 1972. Il a été l’artiste britannique sélectionné pour la Biennale d’art contemporain de Lyon en 2011, la Biennale de Kochi (Inde) en 2012 et la Biennale de Yinchuan (Chine) en 2016. Il a réalisé d’importantes installations lumineuses dans l’espace publique dans plusieurs villes européennes comme Berlin, Londres, Paris, Athènes, et d’autres. Son travail a été exposé au Aspen Art Museum (Etats-Unis), à l’Oklahoma Contemporary Arts Center (Etats-Unis) ou encore au Cer Modern Museum d’Ankara (Turquie). Ses œuvres font partie de la collection permanente du Houston Museum of Fine Arts et du musée Albright Knox à New York. Il vit à Londres.

  • Charles Pétillon, Activités de plein air 2 (small), 2018
  • «Ces invasions de ballons sont des métaphores. Elles ont pour but de changer le point de vue sur ce que nous côtoyons chaque jour sans y porter attention.»
    - Charles Pétillon

  • Charles Pétillon
    Charles Pétillon, Mutations 1 (Large), 2014

    Charles Pétillon

    Marqué par le Land Art, mouvement artistique des années 1960 où la nature elle-même est utilisée comme une composante de l’œuvre d’art, Charles Pétillon met en exergue l'empreinte de l'Homme sur son environnement, les relations complexes entre nature et société. Ses interventions in situ dans des lieux peu fréquentés ou en pleine nature, immortalisées par ses photographies, sont des phrases poétiques, énigmatiques et sobrement énoncées. Elles cherchent à faire affleurer à la conscience un état des choses, une étrangeté, un paradoxe lié à notre époque. Elles nous éveillent à une situation donnée qu'on aurait tendance à oublier, à négliger ou à méconnaître.

     

    Charles Pétillon pratique ce qu'on pourrait appeler l'art du haïku visuel. Ses compositions partagent avec les fameux poèmes japonais une même inclination pour l’instantané, l’évocation concise de la nature insaisissable du monde, le tout avec une simplicité de moyens qui n’est qu’apparente.

     

    Né en 1973, Charles Pétillon est un artiste connu pour ses photographies et ses installations in situ de grand format. Il expose régulièrement son travail dans des galeries à travers le monde, ainsi que dans des institutions muséales comme la Maison de la Photographie à Lille. Régulièrement sollicité pour des projets dans l'espace public, ses œuvres in situ incluent une installation monumentale au Covent Garden de Londres (2015), ainsi qu'à l'aéroport de Paris-Charles de Gaulle (2020).

  • Rero, Nature Morte - Courtesy Rero
  • « L’art n’a pas pour objectif de résoudre les problèmes mais de générer des interrogations, mouvements de conscience sur plusieurs questionnements de notre monde. A partir de là, RERO qui appartient à la dernière génération, au travers de la nature écologique de la création artistique et de son besoin éthique, représente un signe de résistance morale, une volonté constructive de vie, de réflexion à l'égard de la dérive sociale et politique et d'un chaos qui est toujours irréversible. » 
    - Achille Bonito Olivia

  • Rero
    Rero, Still Life, 2012

    Rero

    Avec son travail aux messages intrigants, Rero utilise de façon systématique la police d’écriture Verdana, l’une des plus utilisées, pour tracer des mots ou des phrases qu’il raye immédiatement. Une approche conceptuelle qui lui permet d’énoncer et de contredire tout à la fois pour mieux interroger la nature ambivalente des choses et les codes de nos sociétés contemporaines.

     

    Dans son travail, RERO expose une façon de penser et ensuite la façon opposée de cette pensée, faisant une composition avec une synthèse mais avec des conclusions ouvertes. L'artiste inscrit toujours trois points à la fin de ses œuvres pour lancer la conversation et permettre au spectateur d'en faire une lecture négative ou positive.

    « Je n'essaie pas de changer le monde ; j'essaie de montrer les contradictions, de les comprendre et de vivre avec, car il y a beaucoup de choses que nous ne pouvons pas changer.»
    - RERO

     RERO est né en 1983 et a étudié le design graphique au London College of Communication. Ses œuvres ont été présentées dans de nombreux espaces publics et privés, dont le Centre Pompidou, le Musée en Herbe et le Musée de la Poste, Confluences à Paris et Antje Øklesund (Berlin). Plus récemment, son travail a été exposé en France, aux Etats-Unis, ainsi qu'au Brésil, en Allemagne, en Italie et en Suisse. Il vit et travaille entre Paris et Rio de Janeiro.

  • Saype Les contrebandiers de l'amitié, 2019
  • « Je suis convaincu que l’humanité affrontera mieux ses défis, notamment climatiques, en demeurant unie. Nous vivons un moment de l’histoire où l’Homme se replie sur lui-même. Notre monde est hyper-connecté, mais cette globalisation n’est pas pour autant synonyme de partage et de rapprochement. Cette idée de vouloir fermer les frontières est une vue de l’esprit… »
    - Saype

  • SAYPE
    Saype, World in Progress II, 2021

    SAYPE

    Artiste autodidacte, Saype est aujourd’hui connu pour ses peintures sur herbe, réalisée avec de la peinture éco-responsable. Certainement l’un des artistes les plus médiatisé en 2019, il a notamment été désigné par le célèbre magazine Forbes comme l’une des trente personnalités de moins de trente ans les plus influentes dans le monde, dans le domaine de l’art et de la culture.

     

    L’artiste qui se distingue par ses interventions monumentales à même le sol sur des milliers de mètres carrés d’herbe, de terre ou de sable, qui dévoilent toute leur ampleur vu du ciel. Avec ce travail par nature éphémère, combinaison entre street-art et land-art, il interpelle nos sociétés sur leurs excès tout en appelant à davantage de solidarité.

     

    Passionné par les questions philosophiques et existentielles, Guillaume Legros alias Saype, explore les problématiques autour de l’humanité et de la nature. Cette démarche le mène à créer des scènes dans les endroits les plus insolites avec une peinture éco-responsable et biodégradable sur l'herbe.

     

    Fervent optimiste, l'artiste pratiquant du Land Art met son art au service de l'humanité en lançant le projet pharaonique Beyond Walls en 2019, afin de créer symboliquement la plus grande chaîne humaine au monde, appelant à un mouvement global pour démanteler les murs qui séparent les humains afin de souligner l'importance de notre place sur terre.

  • « Le dialogue avec la nature reste pour l'artiste une condition sine qua non.
    L'artiste est homme; il est lui-même nature, morceau de la nature dans l'aire de la nature. »

    - Paul Klee

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